Soyons libres de tout joug religieux dominateur et marchons dans la liberté de l’Esprit
Quand j’ai prié le Seigneur pour qu’il me dise sur quoi il fallait parler ce soir, après un moment de prière, il y a un mot qui revenait dans mon cœur, un seul mot : liberté, puis un verset : Galates 5:1. Nous allons donc parler de liberté.
L’apôtre Paul dit ceci aux Galates : « C’est pour la liberté que Christ nous a affranchis (ce qui veut dire : c’est pour la liberté qu’il nous a libérés). Demeurez donc fermes et ne vous laissez pas mettre de nouveau sous le joug de la servitude. » je relis ce verset premier parce qu’il est tellement important :
« C’est pour la liberté que Christ nous a affranchis. » Vous remarquez qu’il parle au passé, il ne dit pas que Christ va nous libérer un jour, il dit « Christ nous a libérés ». Il y a beaucoup de chrétiens qui ne savent pas qu’ils ont été libérés par Jésus et ils sont toujours dans des liens, cependant l’apôtre Paul dit bien ici : c’est pour la liberté que Christ nous a libérés, restez donc fermes. Ce qui signifie : restez donc fermes dans cette liberté et ne vous laissez pas mettre à nouveau sous le joug de la servitude. Le joug est la pièce de bois qui se met sur le cou des bœufs pour les amener deux par deux, pour pouvoir labourer ou tirer de lourds chariots. Ils sont accouplés sous une pièce de bois pesante qui est très lourde parce qu’il faut qu’ils aient le cou bien courbé, ainsi nous pouvons en faire ce que nous voulons.
De même nous, avant de connaître Jésus, nous avions le joug de la servitude sur le cou, mais Jésus a enlevé ce joug de la servitude pour nous donner la liberté. L’apôtre Paul dit : Faites bien attention parce que vous pouvez vous faire remettre le joug sur vous si vous ne restez pas fermes en Christ dans cette liberté !
C’était d’ailleurs le cas des Galates : ils avaient été libérés et ils se faisaient remettre le joug de la loi sur le dos. Cela va très loin puisque l’apôtre Paul dit au verset 4 du même chapitre : « Vous êtes séparés de Christ vous tous qui cherchez la justification dans la loi ; vous êtes déchus de la grâce. » Vous voyez si ça va loin, il leur dit : Vous étiez libres, vous étiez des chrétiens en Jésus-Christ dans la grâce, dans la liberté et maintenant vous vous êtes laissés remettre le joug sur vous. Et en plus il dit : Vous êtes déchus de la grâce, vous êtes séparés de Christ maintenant. Vous vous êtes remis sous un autre maître que Christ. Christ nous a donné la liberté, nous sommes devenus esclaves de Christ mais être esclave de Christ ce n’est pas être sous le joug de la servitude. Parce que s’Il nous donne la liberté c’est pour que nous choisissions librement de le servir, de lui obéir parce que servir un maître comme lui ce n’est pas une dure servitude.
Servir Satan c’est une dure servitude. Quand nous étions esclaves de Satan, il faisait peser sur nous un joug pesant. Il n’y a qu’à voir autour de nous le joug de Satan sur les hommes : le joug de la maladie, le joug du péché, le joug des liens démoniaques, le joug des religions. Jésus nous en a libérés ! Alors est-ce que tu sais bien que tu es libre aujourd’hui ? Ne dis pas : Je vais être libre un jour. Jésus dit : Tu es libre aujourd’hui ! Tu le crois et c’est en le croyant que la foi va te donner ce que Jésus a fait pour
toi. Déjà ta dette est annulée, tu n’as plus de dette à payer !
C’est intéressant de voir un peu ce que la Bible dit sur le joug et sur la liberté. Dans Esaïe il y a un beau chapitre que Jésus reprend d’ailleurs pour son compte. Au chapitre 61, et au verset 1, le prophète dit ceci en parlant de Jésus : « L’Esprit du Seigneur l’Eternel est sur moi car l’Eternel m’a oint pour porter de bonnes nouvelles aux malheureux ; il m’a envoyé pour guérir ceux qui ont le cœur brisé, pour proclamer aux captifs la liberté et aux prisonniers la délivrance. » Vous voyez les mots qui sont employés : liberté, délivrance. Nous, les Français, nous savons ce qu’est la liberté parce que nous avons eu la Révolution mais c’est une fausse liberté parce que d’abord elle a été prise par la force, par la force des armes en coupant la tête d’un roi, ce qui n’est pas permis par le Seigneur. Moi je ne suis pas royaliste parce que je ne m’occupe pas de politique, mais la Parole de Dieu dit qu’il faut respecter les autorités. Si elles ne vont pas bien, il faut prier pour elles, il ne faut pas leur couper la tête. Ainsi il pèse sur la France une malédiction qui est due au fait que nous nous sommes rebellés, malgré tous les
bienfaits humains que la Révolution a apportés : liberté, égalité, fraternité, etc… Mais sur le plan spirituel, cette forme de liberté a été obtenue par une rébellion contre l’autorité qui, certes à l’époque, n’était peut-être pas très bonne, une autorité despotique, mais ce n’était pas une raison pour se rebeller, pour trancher la tête du roi et pour proclamer la liberté de cette manière.
Ce texte est la mise par écrit d’un message donné oralement par Henri VIAUD-MURAT.
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